« Mon seul adversaire, celui de la France, n’a aucunement cessé d’être l’Argent. » (Charles de Gaulle, 11 décembre 1969, discussion avec André Malraux, cité dans Les chênes qu'on abat, Gallimard)
De Gaulle et les relations monétaires internationales
Dès que le rétablissement de la balance des paiements permet à la France de faire entendre sa voix, le général de Gaulle souligne les défauts du système monétaire international et s’efforce de le faire évoluer dans le sens d’une plus grande équité entre les nations.
Lorsqu'il était Président de la République, le général de Gaulle payait lui-même les factures d'électricité de ses appartements à l'Élysée, ses frais de téléphone personnel, et même les timbres de ses courriers. Il ira jusqu'à refuser la retraite de Chef d'État.