Union des Gaullistes de France (UGF)

Union des Gaullistes de France (UGF)

Association fondée en novembre 2009 et enregistrée à la Préfecture de Police de Paris. Objet: faire vivre les idées et l’œuvre du Général de Gaulle, chef de la France Libre et président de la République française. L'UGF est parrainée par des sénateurs, membres de l'amicale gaulliste du Sénat. L'UGF est placée sous le haut patronage de Monsieur Raymond Sasia (Ancien officier de sécurité du Général de Gaulle, inspecteur général honoraire de la Police nationale, commandeur de la Légion d'honneur et de l'ordre national du Mérite, 1ère classe d'honneur de la Légion étrangère) et précédemment sous le haut patronage du Général d'Armée Albéric Vaillant† & du Général de corps d'Armée Jean Combette†


L'exemplarité de la diversité de la 1ère DFL ( Division Française Libre)

Publié par Union des Gaullistes de France (UGF) sur 28 Mars 2011, 10:04am

L'exemple de la 1 ère D.F.L : « 20 langues différentes y étaient parlées. »

Des quatre coins du monde, de nombreux volontaires viennent lutter avec nous pour «la libération de la France et la liberté de tous les peuples»

« 15 000 volontaires forment les premiers éléments des FFL et prennent part à une guerre qui au départ n'est pas la leur. »
une unité singulière de gens aux nationalités diverses

Les unités africaines groupaient un millier de volontaires âgés d'environ 23 ans. Pourtant, il n'était pas rare de rencontrer de jeunes recrues de 16 ou 17 ans. lls formaient une unité singulière de gens aux nationalités diverses : de nombreux Algériens, des Républicains espagnols, des exilés russes, quelques Libanais et bien sûr des métropolitains. Autant de nationalités prêtes à «mourir pour la France»

Les troupes originaires d'Afrique du Nord, des tirailleurs sénégalais, des différents groupes coloniaux et des volontaires venus de tous les points du globe ont tenu une place essentielle dans la 1ère Division Française Libre ( 1 D.F.L.)

 

Elle comprenait 70% «d'indigènes» dans les unités d'infanteries. Sur un effectif de 550 000 hommes, près de 400 000 proviennent de Tunisie, d'Algérie et du Maroc, à la fois de pieds-noirs appelés ou rappelés et de musulmans, conscrits ou engagés volontaires. 20 langues différentes y étaient parlées.

 

Ils font preuve d'une loyauté sans faille...

«Pour le jeune maghrébin, l'armée offre l'occasion d'une sorte d'émancipation en prouvant sa valeur guerrière et en portant le même uniforme que les jeunes français du même âge, tout en respectant ses croyances et en lui permettant de célébrer les fêtes religieuses.
Libérer la France, c'est affirmer l'union du pays natal avec la métropole.
Le Maréchal Juin évoque «le souvenir de l'héroïsme le plus pur et de la fraternité qui toujours régna dans les rangs de l'armée d'Afrique, tant il est vrai que c'est dans son sein et au creuset des batailles que les deux races se sont toujours le mieux fondues, le mieux comprises et le mieux aimées.
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